Top 28 World War Z Switch Test Best 11 Answer

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World War Z Nintendo Switch Review Performance Analysis!
World War Z Nintendo Switch Review Performance Analysis!

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Test de World War Z sur Switch par jeuxvideo.com

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OBJECTIF SURVIE

LA HORDE

PETITE MAIS COSTAUD

Conclusion

Test de World War Z sur Switch par jeuxvideo.com
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World War Z (Nintendo Switch) – Le test | Nintendo-Town.fr

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Z’est la fin !

FlingueZ les touZ !

Petit dégommage entre amiZ !

Une réalisation digne des grands Z !

World War Z (Nintendo Switch) - Le test | Nintendo-Town.fr
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TEST : World War Z, que vaut la version Nintendo Switch ? – Lageekroom

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TEST : World War Z, que vaut la version Nintendo Switch ? - Lageekroom
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ntower – Firewall aktiv

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ntower - Firewall aktiv
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TEST – World War Z sur Nintendo Switch

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TEST - World War Z sur Nintendo Switch
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Test: World War Z sur Switch – Nintendo Vision

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Caractéristiques du jeu

EN BREF

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Test: World War Z sur Switch - Nintendo Vision
Test: World War Z sur Switch – Nintendo Vision

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Test World War Z, les zombies à l’épreuve de la Switch ! – Piwigaming

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Des zombies qui ont pris un coup !

Un manque de caractère flagrant !

Conclusion

Positif

Négatif

Satisfaction du Piwi 51 %

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2 thoughts on “Test World War Z les zombies à l’épreuve de la Switch !”

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Test World War Z, les zombies à l'épreuve de la Switch ! - Piwigaming
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World War Z review for Nintendo Switch – Gaming Age

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World War Z review for Nintendo Switch - Gaming Age
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Test de World War Z sur Switch par jeuxvideo.com

La Horde débarque sur Switch ! Après avoir envahi les autres supports, les zombies de World War Z s’immiscent sur la petite dernière de Nintendo et ils sont plus voraces que jamais ! Inspirée du film de Paramount Pictures, le jeu conserve sa fougue initiale, mais s’impose quelques concessions. Suffisant pour sauver la Planète bleue une énième fois ?

Paru en septembre 2006, World War Z est un roman d’horreur post-apocalyptique relatant le destin d’individus tentant de survivre dans un monde frappé par une terrible pandémie. Face à ce virus transformant les humains en zombies, la planète est au bord de l’extinction et le récit met en lumière les parcours disparates d’hommes et de femmes prêts à tout pour ne pas devenir l’une de ces créatures décharnées. Fort de ce succès, l’auteur, Max Brooks, qui est aussi scénariste et acteur, a signé un partenariat avec la Paramount pour une adaptation cinématographique éponyme. &; l’inverse du bouquin, le long-métrage – qui a fait forte impression lors de sa sortie en 2013 – se focalise sur le personnage de Gerry Lane (campé par Brad Pitt). C’est toute cette licence (même si l’auteur se détache du film qu’il juge indigne de son travail d’écrivain) qui a été portée en jeu vidéo. Et pour la première fois, la Nintendo Switch accueille la franchise et vient compléter une ludothèque qui souffre de l’absence de ce type d’expériences.

OBJECTIF SURVIE

Pendant un temps, l’industrie du jeu vidéo a succombé à la folie des zombies. Chaque annonce, ou presque, mettait en scène ces entités assoiffées de sang et il fallait vraiment trier pour découvrir des expériences différentes. Heureusement, la tendance s’est essoufflée et c’est donc avec un tout autre regard que l’on accueille cette version Nintendo Switch. Si World War Z n’a pas à se farcir une concurrence acharnée, il n’en demeure pas moins un shoot coopératif dans la veine des Left 4 Dead ou, plus récemment, Back 4 Blood. Ainsi, même s’il propose du solo et multijoueur, en ligne comme hors-ligne, l’&;uvre de Saber Interactive ne verse pas l’originalité. Dans différents coins du monde (États-Unis, Russie, Japon, Israël…), une escouade part à l’assaut de vagues déferlantes dans le simple but de survivre et de suivre divers objectifs. Protection d’un bus, défense d’une position, livraison de matériel… il faut avoir l’&;il vif et la gâchette facile ! Pour résister, le joueur dispose d’un gros arsenal (fusils, pistolets, grenades, lance-roquettes…) et de gadgets visant à ralentir les infectés. Cela va de la tourelle défensive à la grille haute-tension en passant par des barbelés. Pour stopper les hordes de zombies, tous les moyens sont bons et il est plus que jamais utile d’exploiter l’environnement. Un lustre de plusieurs kilos qui tombent sur la tronche de ces putréfiés, ça fait du dégât !

LA HORDE

Ce qui fait la force de World War Z, ce sont évidemment ses hordes et la tension qu’elles occasionnent. Tout comme dans le film éponyme (lors du passage à Jérusalem) ou dans un jeu comme Days Gone, les zombies arrivent par centaines et il est impossible d’y résister si les joueurs ne sont pas préparés. Les créatures grimpent littéralement au mur, formant de véritables montagnes de monstres prêts à tout pour dévorer le moindre quidam qu’ils croisent. Même si le titre de Saber propose de faire équipe avec des avatars pilotés par l’intelligence artificielle (très moyenne), il est plus que recommandé d’opter pour le mode en ligne pour avoir une escouade plus réactive et à même d’encaisser des vagues composées de différents types de zombies. Outre les infectés classiques, certains émettent un gaz toxique, d’autres foncent sur la cible avec une grande force et il y en a qui se planquent pour vous surprendre. Que ce soit en mode coopératif (Campagne) ou compétitif (Multijoueur à 4 contre 4 à télécharger gratuitement), World War Z fait totalement ce qu’on attend de lui, entre séquences spectaculaires, coordination entre joueurs et moments d’intense adrénaline. L’ensemble a beau être classique avec son système de personnalisation, que ce soit pour les personnages ou les armes, mais les lieux traversés et la configuration des zones traversées font qu’on est toujours en éveil. Entre la variété des décors (ruelles japonaises, mégalopole américaine, bateau de croisière…) et la qualité du level design, World War Z a de sérieux atouts. La question est de savoir si la version Switch est suffisamment solide.

PETITE MAIS COSTAUD

Ce n’est pas une surprise, la version Nintendo Switch s’impose des concessions par rapport aux autres plate-formes. Les textures sont moins fines, l’animation ne dépasse jamais les 30 images par seconde (parfois moins) et la résolution est bloquée en 720p – que ce soit en mode docké ou portable. Pour autant, en dépit de quelques ralentissements, la petite dernière de Big-N encaisse plutôt bien les hordes de zombies et l’étendue des environnements. Même si le level design reste assez cloisonné, il y a des décors qui passent vraiment bien (surtout en mode nomade où les textures apparaissent plus fines). Du côté des commandes, elles sont réactives et permettent de se défendre, même dans le cadre d’encerclements. War Z vient combler un genre qui est peu présent sur Nintendo Switch et il a le mérite d’être sacrément solide et digne des autres versions. Pour en profiter pleinement, privilégiez le mode nomade.

Conclusion

Points forts Une adaptation efficace sur Switch

Des commandes intinctives et réactives

La variété des environnements et leur configuration

Le rendu visuel des hordes de zombies

L’adrénaline lors des phases de hordes

Un multi solide

Une ambiance qui en impose Points faibles Quelques zones un peu trop cloisonnées

Les ajouts de l’édition Aftermath absents

Une IA franchement moyenne

Quelques ralentissements lors des hordes

Le scénario en retrait

Note de la rédaction 14

Les développeurs de Saber Interactive avait impressionné le petit monde du jeu vidéo avec le portage de The Witcher 3 : Wild Hunt et ils récidivent avec World War Z. Visuellement plus net que les aventures de Geralt de Riv, le jeu de zombies parvient à retranscrire, avec quelques concessions, l’expérience de l’original. Complet, défoulant et sacrément efficace, que ce soit sur un téléviseur ou en mode portable, le titre prend tout son sens en multijoueur. Il est regrettable de ne pas profiter des ajouts de l’édition « Aftermath », mais voilà un FPS compétitif qui devrait rallier une belle communauté. Les zombies n’ont qu’à bien se tenir !

12.6 L’avis des lecteurs (5) Lire les avis des lecteurs Donnez votre avis sur le jeu !

Commander World War Z sur Amazon

World War Z (Nintendo Switch) – Le test

L’annonce, un peu surprise, du portage de World War Z sur Nintendo Switch pouvait quelque peu inquiéter… Toutefois, le fait que Saber soit à l’ouvrage avait tendance à rassurer… Le studio étant capable de faire un travail d’orfèvre quand il s’agit de porter des jeux sur la console hybride de Nintendo… Encore une réussite ? Prenez votre fusil à pompe et traversons ensemble l’apocalypse zombie sur Nintendo Switch !

Z’est la fin !

Commençons donc par le début ! À l’origine World War Z, c’est un roman paru en 2006 et écrit par Max Brooks, celui-ci fait suite à son précédent ouvrage « Guide de survie en territoire zombie » (qui comme son nom l’indique donne les bonnes pratiques en cas de pandémie zombie, parfois de façon un peu décalé). Un segment du livre fait même état des épidémies recensées à travers les âges, en s’inspirant de faits réels, mais supposant qu’en réalité, il s’agissait d’attaques de morts-vivants. World War Z, lui, adopte un ton un peu plus « sérieux » et se présente sous une succession d’interviews avec des « survivants » qui expliquent les changements religieux, politiques et environnementaux engendrés après la guerre des zombies… Évidemment, un tel succès ne pouvait rester sur papier et c’est tout naturellement que les infectés ont envahi le grand écran, dans une adaptation cinématographique en 2013 (ayant pour vedette Brad Pitt) qui ne reprend finalement que le titre de l’œuvre, en laissant de côté la dimension géopolitique et environnementale. Toujours est-il que le film remporte un certain succès et s’offre même le luxe de devenir le film de zombies le plus rentable au cinéma… Le succès appelant les adaptations, la licence infecte également les jeux-vidéo et le titre qui nous intéresse aujourd’hui est sorti en 2019 sur Xbox One, PS4 et PC.

Voilà, pour l’historique de la licence, parlons maintenant du jeu ! Celui-ci s’inspire du film au niveau de son déroulement et de l’ambiance globale et un peu livre pour l’aspect suivi de différents protagonistes avant dans différents endroits du monde. Ainsi, vous voyagerez de New-York à Tokyo, en essayant de trouver une échappatoire ou un moyen de mettre fin à l’épidémie avec votre petit escadron de 4 survivants.

FlingueZ les touZ !

Vous l’aurez compris, l’histoire n’est pas le cœur du jeu… On retiendra donc que les infectés (ils ne sont jamais vraiment identifiés comme Zombies.) ont envahi le monde, et seuls quelque irréductibles humains tentent d’en venir à bout pour retrouver un semblant de vie normale… Le jeu se présente donc sous la forme d’un TPS (Third Person Shooter) en coopératif jusqu’à 4 joueurs et dès le début, on ressent ce côté multi-joueurs au niveau de l’interface qui vous propose de créer « un salon ». En effet, vous serez libre de choisir le scénario (pays) et carte de votre choix. 4 Destinations sont disponibles : New-York, Jérusalem, Moscou et Tokyo, chaque destination est ensuite découpée en 3 ou 4 cartes (missions), pour un total de 14 environnements « différents ». Vous pourrez ensuite choisir la classe de votre personnage (7 possibles, allant du fantassin à l’infirmier en passant par le « surineur »). Chaque classe vous permettra d’obtenir des avantages différents en début de partie et si vous jouez à plusieurs (ce qui est recommandé, mais on en reparle après), il faudra répartir les rôles de façon idéale.

La partie démarre ensuite et un semblant de scénario, prétexte au dégommage des zékés (c’est ainsi que sont appelés les ennemis dans le jeu.), permet de lier un peu l’ensemble…

Même si les 16 personnages que vous pouvez incarner disposent d’un background (dont vous pouvez débloquer un court aperçu vidéo), l’objectif sera toujours le même : Avancer, Tirer, Actionner des boutons et/ou rechercher des clés, tirer et survivre jusqu’au bout du niveau ! Une fois, la mission terminée, s’affiche un récapitulatif (celui qui a tué le plus de zombies, le plus de tir à la tête, le moins de dégâts, etc.) ainsi qu’un gain d’expérience… Rajoutant une très légère dimension RPG à l’ensemble. Les points d’expérience ainsi gagnés vous permettront de débloquer des compétences supplémentaires, relatives à la classe que vous avez choisi. Mais au-delà de la dimension « humaine », la dimension « matérielle » est également prise en compte… Et oui, même les armes bénéficient de gains d’expérience ! Selon l’utilisation des différentes armes durant la mission, elles gagneront plus ou moins d’expérience, permettant également par la suite de les améliorer.

Bien évidemment, les améliorations ne sont pas gratuites et demanderont d’être échangées pour des points que vous gagnerez à la fin de chaque mission (en cas de réussite comme en cas d’échec, mais dans ce cas, votre gain sera un peu moins important.). Cet aspect RPG aura pour effet de rallonger la durée de vie du titre, pour qui voudra débloquer l’ensemble des compétences et des améliorations, ce qui n’est pas forcément négligeable et pourra évidemment s’avérer utile pour mener à bien vos campagnes que ce soit en solo Hors-ligne… Ou avec des amis (ou des inconnus) en ligne. C’est d’ailleurs là que World War Z trouve tout son intérêt…

Petit dégommage entre amiZ !

On l’a dit juste avant, il est possible de jouer en solo et en hors-ligne à World War Z, vous pourrez débloquer du contenu et bien évidemment augmenter le niveau de difficulté. Sachez néanmoins qu’en solo avec le niveau de base et l’assistance de l’IA, vous risquez parfois de vous retrouver en mauvaise posture durant l’assaut des hordes

L’IA qui vous assiste est un tout petit peu plus intelligente que vos adversaires zombifiés, mais ne s’avérera pas toujours d’une grande aide durant les phases de jeu. En effet, vos 3 compères, dirigés par la console, se contenteront de balancer du plomb sans faire preuve de discrétion… Ce qui aura pour effet de réveiller et d’attirer un max d’infectés ! Rajoutez à cela qu’ils n’essayeront jamais d’atteindre les objectifs, même s’ils sont assez basiques et franchement répétitifs. En effet, il faudra avancer, trouver un interrupteur pour ouvrir une porte à atteindre, puis rebelote pour la porte suivante, sauf qu’il manquera une clé à trouver sur des cadavres (et forcément ça sera toujours en vidant les poches du dernier que vous trouverez la bonne clé). Gérez ces actions de prime abord simple, peut s’avérer compliqué face aux hordes de zombies qui vous attaquent et c’est là que le multi-joueur fait vraiment toute la différence !

Vous pouvez donc lancer une partie publique (avec 3 inconnus) ou privée (avec 3 amis). Le système d’invitation à lancer une partie avec des amis est relativement bien foutu, car vous pouvez directement solliciter les personnes de votre liste d’amis pour leur demander de vous rejoindre. Pour les parties publiques, il faudra attendre que des personnes disponibles se joignent à vous (lors de nos essais, nous n’avons pas trop attendu pour trouver au moins 1 coéquipier.). Sachez d’ailleurs qu’il n’est pas nécessaire d’attendre de trouver 4 joueurs ; si vous n’êtes que 2, l’IA prendra le contrôle des 2 autres… Et à 2 humains, les parties seront déjà plus agréables à jouer ! Le seul regret, c’est l’absence de dialogue en ligne (Il y a bien des boutons pour des phrases rapides – « En avant ! », « Oui ! », « Non ! »), mais ça ne vaudra jamais un bon échange vocal ! L’alternative si vous jouez avec des amis étant d’utiliser Discord par exemple… Autre point positif au niveau multi, vous pouvez rejouer avec des inconnus que vous avez déjà rencontrés et éventuellement rejoindre une de leurs parties, s’ils sont déjà en ligne. C’est franchement pas mal, surtout si vous avez bien avancé avec une ou des personnes lors d’une session précédente.

Une réalisation digne des grands Z !

Il est temps de parler de l’ambiance globale du titre et de sa prise en main… Mais commençons par la prise en main ! Les commandes répondent bien, par contre elles sont nombreuses et il faut avouer que l’absence d’un petit tuto à tendance à se faire sentir… Surtout dans les premières parties… Ainsi, votre personnage peut avancer normalement, en mode discret ou en sprintant. Il est possible de lancer des grenades, de poser des pièges, de viser avec précision, de tirer et de changer d’arme… Ça fait beaucoup de boutons à retenir, et même si on trouve assez vite ses repères… Nous avons juste un peu galéré au niveau du changement d’armes qui n’était pas forcément évident.

On vous explique : un personnage ne peut pas porter plus de 3 armes différentes, une légère type pistolet ou mini pistolet mitrailleur, une normale, plus puissante, type fusil à pompe ou AK-47 et enfin une lourde (pour s’en donner à cœur joie) incluant une mitrailleuse lourde, un lance-roquette ou encore un lance-flamme… Pour basculer entre les différentes armes, il faudra appuyer sur la touche X, sachant qu’une pression brève vous fera dégainer l’arme légère, une pression normale, l’arme principale et enfin une pression longue vous fera sortir le gros calibre.

Nous pouvons maintenant vous parler des infectés… Ou plutôt des hordes d’infectés ! Vous le savez certainement, ce qui démarque World War Z d’autres jeux coopératifs dans lequel il faut exploser du zombie à coup de fusil à pompe, c’est le « swarn engine ». Littéralement le moteur à essaim… En gros les hordes de zombies qui se jettent sur vous… Et attention, on ne parle pas de 5 ou 10 vilains pas beaux… On est clairement dans la cinquantaine (voire même l’impression de centaine) qui fonce droit sur vous pour vous becqueter ! Et franchement, ça fait son petit effet… Déjà d’un point de vue sonore (entendre la horde courir sur vous en hurlant) et ensuite visuellement, les infectés débarquent telle une vague déferlante sur vous… Et le tout… Sans un poil de ralentissement !

Si vous êtes en hauteur, les nombreux morts-vivants commenceront à faire des pyramides, grimpant les uns sur les autres pour accéder jusqu’à vous et ça a quelque chose de franchement impressionnant ! L’autre côté plutôt sympa que nous avons constaté, c’est l’absence de « jumeaux » … Même s’il y a peu de types de zombies différents, nous n’avons jamais (ou très rarement) eu des jumeaux qui nous foncent dessus… Comprendre des zombies habillés pareils avec le même aspect, malgré le peu de différence au niveau des types de zombies rencontrés et leur nombre, ils sont tous assez différents que ce soit dans les tenues, la corpulence et le niveau de décomposition. Vous croiserez également certains zombies spéciaux, comme le CRS enragé qui foncera sur vous comme un taureau, ou le zombie Hazmat qui lâchera des gaz mortels une fois occis (ce qui donnera un effet trouble à l’écran et de l’écho dans les voix entendues).

Autre chose qui nous a agréablement surpris, c’est l’aspect graphique global. En plus d’une fluidité constante, malgré le nombre important d’ennemis à l’écran, l’ensemble reste franchement joli ! Contrairement à certains portages, ou il y a une espèce de filtre flou constant, ce n’est pas du tout le cas dans World War Z. Certes, les textures ne sont pas aussi détaillés que sur les autres supports, mais il n’en reste pas moins que les extérieurs sont beaux, avec une belle profondeur de champ (même s’il y a un flou, logique, quand on regarde vers l’horizon). Les différents pays visités sont bien modélisés et on a clairement apprécié se promener dans les rues de New-York, ou encore les rues enneigées de Moscou… Les zones en intérieur sont par contre un peu moins sympa, donnant parfois l’impression de voir toujours les mêmes couloirs ce qui peut devenir à la longue un peu barbant… Toutefois, cela est contrasté avec des passages dans les rues au décor post-apocalyptique noyé par les râles des vagues d’infectés qui foncent sur vous… Vous allez nous dire et les temps de chargement dans tout ça ? Parce que forcément, des zones relativement vastes et surtout une palanquée d’ennemis, ça doit réclamer des temps de chargement, non ? Eh bien… Non ! Pas tant que ça. À partir du moment où vous lancez la mission, il faut compter entre 45 et 55 secondes de chargement et ensuite… Plus rien ! C’est un réel confort dans le jeu et ça évite les temps morts. Une chose est sûre, avec un peu d’effort, il est possible pour un développeur tiers de porter des titres très agréables à l’œil sur la console hybride de Nintendo !

La bande-son colle à l’action, pas inoubliable, les cris des vagues de zombie qui foncent sur vous auront toute de même le mérite de vous faire un peu flipper (surtout de peur d’être noyé sous la masse de zombie). Un petit coup de pression appréciable.

Même si les enjeux de l’histoire sont simplistes, l’ambiance sonore et visuelle participe à l’immersion et s’avérera idéal pour vous vider la tête en décimant des hordes de morts-vivants (véloces) au lance-flamme ou à la sulfateuse…

Conclusion 7.4 /10 Encore une fois, les p’tits gars de chez Saber nous ont montré ce que la Switch a dans les tripes ! Le jeu est beau (même si moins joli que sur les autres consoles), il a le mérite de reprendre l’ensemble à l’identique et surtout de rester fluide, malgré le grand nombre de zombies à l’écran ! Gardez à l’esprit que malgré son côté défouloir (qui fait du bien après une journée difficile), l’intérêt du titre se trouve en multi… C’est en effet avec des amis (ou des inconnus) que vous prendrez le plus de plaisir à décompresser en défouraillant des infectés depuis n’importe où ! LES PLUS Un très beau portage.

Un très beau portage. La fluidité malgré l’action à l’écran.

La fluidité malgré l’action à l’écran. Les temps de chargements plutôt courts.

Les temps de chargements plutôt courts. Le contenu vidéo à débloquer.

Le contenu vidéo à débloquer. Le côté RPG pour l’évolution des classes de personnages et des armes.

Le côté RPG pour l’évolution des classes de personnages et des armes. Le mode multi.

Le mode multi. Un défouloir parfait après une journée pourrie ! LES MOINS Les phases dans les tunnels et les couloirs.

Les phases dans les tunnels et les couloirs. Les actions rébarbatives (trouve un interrupteur, ouvre une porte, etc…)

Les actions rébarbatives (trouve un interrupteur, ouvre une porte, etc…) L’IA proche d’un zombie en solo.

L’IA proche d’un zombie en solo. S’apprécie vraiment en multi-joueurs.

S’apprécie vraiment en multi-joueurs. L’histoire très secondaire.

L’histoire très secondaire. L’absence de Aftermath… Détail de la note Graphismes 0

Multi 0

Histoire 0

Maniabilité 0

Fluidité 0

TEST : World War Z, que vaut la version Nintendo Switch ?

En avril 2019, Saber Interactive a adapté la licence World War Z (notamment grâce au succès du film de 2013 qui adaptait sommairement le roman de Max Brooks publié en 2006) en jeu vidéo sur PC, PlayStation 4 et Xbox One en prenant en référence une autre licence qui a su marquer les joueurs : Left 4 Dead. Un peu plus de deux ans plus tard, le studio a sorti une grosse mise à jour payante du nom d’Aftermath ajoutant du nouveau contenu et permettant de jouer en 4K / 60 images par seconde sur les consoles new-gen. Mais c’était aussi l’occasion de tenter le portage sur la Nintendo Switch. Après tout, des jeux comme les Crysis, Vampyr ou même The Witcher 3 arrivent à tourner sur la console de Nintendo, montrant le savoir-faire de Saber Interactive en la matière… Reste à voir si les développeurs ont réussi à réitérer un exploit ou s’ils se sont laissés déborder par les zékés…

Vous êtes sûr qu’il n’y a pas trop de monde à l’écran ?

En partant du principe que vous connaissez déjà le jeu World War Z, nous allons dans un premier temps parler du portage en question. Nous reviendrons brièvement sur les qualités et défauts du jeu de base par la suite pour les néophytes qui découvriraient le titre. Bien entendu, il serait inopportun de comparer cette version Switch à la dernière mise à jour new-gen du jeu. On préfère donc se baser sur la version Xbox One à laquelle nous avons joué (qui est similaire à la version PlayStation 4). Le premier point qui frappe, c’est que le chargement pour lancer le niveau dure environ entre 45 secondes et une minute, ce qui est relativement long, mais dispense de tout autre chargement durant le niveau en cours. Une fois en jeu, il n’y a donc pas de coupure qui nous sortirait de l’ambiance, même le menu pause ne mettant pas le jeu en pause (l’action se poursuit même si notre personnage reste fixe le temps de naviguer dans le menu). Bien sûr, si certains peuvent être plutôt surpris par la longueur du chargement, il faut noter que celui-ci était du même ordre, si ce n’est même un poil plus long, sur les consoles concurrentes. Dans les faits, c’est donc plutôt un bon point. La partie sonore n’a pas été impactée, les cris caractéristiques des zékés (le nom des infectés du jeu) et les musiques accompagnant l’action assurant l’essentiel pour mettre l’ambiance.

Le travail, défini comme le plus difficile à ce jour par les développeurs, a donc consisté à adapter visuellement et techniquement le titre à la console de Nintendo, qui dispose de caractéristiques plus faibles que ses concurrentes et qui demande en prime de composer avec un mode nomade, en plus du mode docké. La première concession qui a dû être faite, c’est la résolution. Oubliez le 1080p, le jeu passe en 720p et la résolution est adaptée dynamiquement en mode portable, ce qui donne parfois des rendus très sommaires et pixellisés, notamment lorsque les hordes forment des amas de zékés pour grimper le long des murs. Cette concession permet de conserver un jeu majoritairement fluide, même quand il y a beaucoup d’ennemis à l’écran (bien plus que dans n’importe quel autre jeu), les développeurs n’ayant pas sacrifié le concept même de WWZ au profit des performances. Dans les moments les plus chargés, on sent que le framerate passe sous la barre des 30 FPS en mode nomade, mais comme le rendu est assez homogène et que ces passages sont ponctuels, il est bien difficile de critiquer les développeurs. Autant le dire, même si nous allons pointer certaines différences avec les autres versions, l’équipe de Saber Interactive a fait un superbe travail de portage.

Il est clairement étonnant de voir ce WWZ tourner finalement « si bien », si on peut dire, sur une Nintendo Switch, encore plus en mode portable. En plus, les développeurs n’ont pas trop sacrifié les modélisations. Les modèles sont assez proches des originaux, les différences venant de textures plus sommaires majoritairement, de visages un peu moins détaillés et surtout d’ombres réduites au minimum du minimum. Même la profondeur de champ reste assez impressionnante pour le support. Certes, selon la quantité de zékés à l’écran, on peut constater un certain flou à moyenne distance, de l’aliasing ci et là, de la pixellisation, des visages très sommaires, etc., mais cela ne vient pas entacher le fun que peut procurer le titre. En revanche, ce qui est fortement plus dommage, c’est que les développeurs n’ont pas ajouté le contenu d’Aftermath et qu’ils facturent tout de même 39,99€ pour ce portage qui offre les 14 cartes de base réparties entre New-York, Jérusalem, Moscou et Tokyo, seize personnages, une trentaine d’armes, neuf équipements et le mode de difficulté Extrême qui avait été ajouté aux modes Facile, Normal, Difficile et Démentiel.

Nous l’avons vu, même s’il a été fait au prix de certaines concessions (et non sacrifices, on vous voit les mauvaises langues), ce portage Switch de World War Z est dans l’ensemble satisfaisant. Pour autant, il ne fait que reprendre les qualités et les défauts de base du jeu. Côté options, il est bon de noter qu’on peut ajouter les sous-titres en français pour pallier des carences de compréhension de l’anglais ou pour aider les personnes en situation de surdité à mieux comprendre le contexte de la mission. Nous parlons de contexte car le jeu a été pensé pour le multijoueur et que le scénario a été réduit à sa plus simple expression. Même s’il est possible de profiter de la campagne en mode solo, en étant accompagné de trois IA, nous vous déconseillons d’acheter le titre uniquement pour cela. Si les IA peuvent s’avérer parfois adroites et nous aider à nous relever, il faut bien avouer que pour le reste, on ne peut pas compter sur elles. Elles ont la fâcheuse tendance à se mettre devant notre arme, en sachant que dans les niveaux les plus difficiles, le tir ami est bien plus puni que dans les niveaux facile et normal. Elles se font également mettre rapidement au sol lors des missions de protection de zones notamment, elles gaspillent les balles, ne touchent pas une tête (statistiques de fin de mission à l’appui) et surtout tirent sans notre consentement, alarmant les hordes quand on aurait pu être plus discret.

L’IA ennemie n’est pas meilleure, loin de là, avec des comportements parfois étranges, des sortes de moments de latence avant une attaque, etc. mais comme le nombre des ennemis et leur résistance croient avec la difficulté, on est vite submergé. Résultat, il est largement préférable d’opter pour le multijoueur. On peut alors rejoindre une partie en public pour jouer avec des inconnus ou partir sur une partie privée en lançant simplement des invitations à notre liste d’amis. Le système est bien fait et quand les amis sont disponibles, on prend un malin plaisir à défourailler les zékés en coopération. Attention simplement quand on est l’hôte à ne pas lancer la partie avant que les autres joueurs aient rejoint celle-ci, sinon les places vacantes sont comblées par des bots… Bien entendu, même si cette partie campagne en multi est la plus intéressante à jouer, il ne faut pas oublier la présence d’une poignée de modes joueurs contre joueurs dans lesquels deux groupes de quatre s’affrontent, avec quelques zékés qui s’invitent à la fête. C’est assez classique, moins intéressant et plus limité sur certains points pour garder un certain équilibrage. Au moins, le multijoueur est plutôt stable et ça permet de varier les plaisirs. Reste que les temps d’attente peuvent fortement varier selon le moment de la journée, ledit mode ne semblant pas très fréquenté.

Comme nous l’avons évoqué plus haut, le jeu comporte seize personnages mais il introduit surtout un système de sept classes (Fantassin, Artificier, Infirmier, Agent d’appui, Surineur, Exterminateur et Dronemaster). Cela permet de profiter de quelques spécificités, en sachant qu’un système de progression bienvenu permet d’améliorer l’ensemble, qui peuvent être complémentaires. Raison pour laquelle il est regrettable de voir que le multijoueur ne filtre pas ou du moins ne permet pas les associations par rapport au niveau des joueurs. Le jeu offrant un certain challenge dès le mode normal, on se mord vite le bout des doigts lorsqu’on tombe avec des néophytes qui ne jouent pas le jeu ou qui multiplient les erreurs, tir ami en premier. Bref, en termes de progression, au-delà de la classe, le système est également appliqué aux armes. Plus on utilise une arme, plus elle monte en niveau, plus on peut l’améliorer, moyennant finances bien sûr. Pour cela, il suffit de jouer. Echec ou victoire, on gagne toujours un petit pécule (moindre en cas d’échec forcément). L’ensemble est plutôt agréable et le système de tir à la troisième personne (pas de vue FPS ici malgré l’ajout de cette dernière via un patch sur les autres versions) est tout à fait correct.

On alterne entre une arme principale et une arme secondaire, tout en ayant l’opportunité d’utiliser ponctuellement une arme lourde à usage unique ou presque (comprenez qu’on ne la conserve pas pour la recharger avec les points de recharges de munitions) qui fait de sérieux dégâts, comme un certain bazooka des plus jouissifs. Au moins ces armes font de sérieux dégâts, contrairement aux grenades par exemple qui même envoyées au pied d’un attroupement de zékés font approximativement autant de dégâts qu’un petit pétard… Pour le reste en revanche, c’est du classique. On avance, on actionne des interrupteurs, on escorte, on va chercher des éléments, on protège une zone et surtout on tente de survivre jusqu’au bout. Il n’y a rien de vraiment original dans le système de jeu, pas même les infectés spéciaux dont la particularité de chacun rappelle celles des infectés de Left 4 Dead ou plus récemment de Back 4 Blood. En gros, on a le gros CRS qui fonce comme une brute, celui qui immobilise au sol, celui qui lâche un gaz toxique une fois mort, celui qui explose quand il meurt ou encore celui qui hurle pour appeler ses congénères. De même, les amateurs regretteront le manque total de recul des armes, ce qui nuit légèrement au feeling de notre point de vue.

Pour faire simple, ce portage de World War Z reprend toutes les qualités et tous les défauts de la version originale de 2019. Même si le contenu ne comprend pas celui de la dernière mise à jour en date (Aftermath), ce qui fait que le tarif de 39,99€ est un peu plus difficile à accepter, il faut bien reconnaître que pour le reste Saber Interactive a une fois de plus réussi un petit miracle. Nous exagérons un peu mais quand on connaît le matériel embarqué dans la Nintendo Switch et le besoin de travailler sur le portage en tenant compte du mode portable, il y a quelques années on n’aurait jamais imaginé un Crysis ou un The Witcher 3 tourner dessus. Alors, avec le système de horde propre à World War Z avec un envahissement de l’écran et des zékés qui forment des montagnes d’infectés, nous n’imaginions pas une version Switch, à moins de passer via le Cloud… Et pourtant, les développeurs nous prouvent que c’est possible sans sacrifier le concept même du jeu et en installant le titre sur sa machine. Certes, ils ont fait des concessions sur la partie technique et sur la partie graphique mais le rendu global est vraiment très satisfaisant par rapport au support, surtout que c’est majoritairement fluide (30 FPS constant la plupart du temps). Mieux, malgré les soucis de précision des Joy-con, Saber Interactive a réussi à paramétrer le tout pour que les imprécisions soient moins perçues que dans d’autres TPS. Dans tous les cas, il y a trois niveaux de réglage pour l’AIM et des réglages de la sensibilité sur les axes X et/ou Y, ce qui permet vraiment d’avoir un rendu agréable (encore plus en jouant avec la manette Pro). Certes, les armes n’ont pas de recul et les IA sont mauvaises, mais en multijoueur avec des amis ou même des inconnus quand on trouve une partie, on s’amuse beaucoup. En bref, World War Z reste un bon défouloir, à la formule classique très inspirée (pour ne pas dire pompée) de Left 4 Dead fonctionnant bien malgré tout, qui arrive à impressionner sur Nintendo Switch sans sacrifier le principe des nuées d’infectés.

Les +

Le système de classe

Le système de progression des armes

Les hordes, impressionnantes

Bande-son très correcte

Plutôt fun en multi coop

Les différentes options de réglages pour la visée

Code réseau assez stable

Système d’invitations des amis bien fichu

Très majoritairement fluide

Le multi PvP pour diversifier un peu

Quelques beaux effets (lumières, reflets…)

Des modèles 3D plutôt bien portés

Un portage assez impressionnant…

Les –

Malgré des concessions (résolution dynamique plus basse, ombres réduites au strict minimum, textures plus sommaires, aliasing et pixellisation parfois, etc.)

I.A. alliée décevante

I.A. ennemie pas bien meilleure avec quelques étrangetés

Scénario ultra minimaliste

Rien de bien original

Pas de recul des armes

La grenade, un simple pétard…

Multi PvP moins intéressant

Un peu cher (39,99€)

Test rédigé par Vincent – Lageekroom

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